Parlons du salut: extraits à méditer
Parfois, une phrase ou une affirmation suffit pour nous interpeller, nous faire réfléchir. Voici quelques extraits choisis de la section sur le salut dans Pour une foi réfléchie.
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Dieu a le projet de rétablir la relation rompue avec les êtres humains. Pour ce faire, il se révèle à des hommes et des femmes avec qui il entre en relation d’alliance.
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La loi énonce certes en quoi consiste le bien, mais elle ne donne pas le moyen de l’accomplir.
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L’être humain ne mérite pas d’être sauvé, il mériterait au contraire d’être abandonné aux conséquences de ces choix et à toute l’action du mal, mais Dieu le sauve.
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Dieu est celui qui donne la vie; il en est la source et le moyen de subsistance. Séparé du Créateur, l’être humain ne bénéficie plus que de façon partielle de ses dons.
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La sagesse suprême de Dieu consiste à faire coïncider le pire des meurtres avec le plus grand amour qui soit.
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Avec Dieu, l’autojustification ne fonctionne pas, parce qu’il nous connaît intimement et souvent mieux que nous-mêmes.
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Croire, ce n’est pas seulement confier à Jésus le secteur religieux de notre vie, mais lui confier notre temps, nos loisirs, nos choix.
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Les œuvres sont la conséquence de la justification, et non sa condition.
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Devant Dieu, il est impossible de jouer un personnage.
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Plus que de vouloir être zen, bien dans sa peau, le croyant est appelé à rechercher la sainteté.
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La sainteté est à la fois un indicatif et un impératif. Il est décisif que l’indicatif précède l’impératif.
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Le «faire» de Dieu correspond à son «être».
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Le salut sur terre n’est qu’un acompte du salut complet réservé pour nous au dernier jour.
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L’assurance du salut ne signifie pas que l’on puisse «se la couler douce»!
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La foi n’est pas un pack «tout-en-un» que l’on recevrait à la naissance.
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Si Dieu est souverain, il l’est dans tous les domaines. Nous devons notre salut, de A à Z, à Dieu et non à nous-mêmes.
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Seul Dieu est capable de nous déterminer de l’intérieur et de nous permettre de dire un «oui» qui soit à la fois le nôtre et le sien.
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Dieu ne doit rien à l’homme, et surtout pas la grâce.
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Lorsque l’homme entend l’appel de Dieu, ce qui l’empêche de venir, c’est son péché, son incrédulité. Ce n’est pas Dieu.
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Le salut est conditionné par la réconciliation avec Dieu.
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La révélation biblique s’inscrit dans l’histoire humaine et lui donne un sens.
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La foi n’est pas une œuvre humaine qui ajoute quelque chose à l’œuvre de Dieu.
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L’Evangile est un message auquel l’être humain est invité à répondre en être responsable, en y adhérant de tout cœur.
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Dieu est libre de recourir à des voies extraordinaires.
